Le fauchage tardif consiste à laisser enherbées certaines zones afin de préserver la biodiversité, en respectant le cycle naturel des plantes et l’aspect esthétique : il permet à la flore de s’exprimer tout au long du printemps et de l’été, offrant les attraits visuels d’un paysage changeant et la redécouverte d’espèces oubliées telles que les orchidées et tulipes sauvages.
Le fauchage n’a lieu qu’une fois par an, après le 15 août.
En choisissant de favoriser le fauchage raisonné plutôt que l’entretien intensif sur la place du Périgord, la route des Courroies, au Petit-Pré ou dans le lotissement Beaulieu, la ville de Saint-Astier respecte les cycles naturels biologiques et s’engage dans une gestion durable des espaces verts et l’application de l’Agenda-21.
Les espaces verts et les bords de routes constituent des “prairies naturelles” dont la richesse ne demande qu’à s’exprimer. Les plantes sauvages y ont la possibilité de grainer et de se reproduire, grâce à une pollinisation par les insectes. De nombreux animaux y trouvent nourriture, gîte et abri. Véritables “corridors écologiques”, on y trouve, par exemple, des espèces de plantes et d’insectes remarquables, devenus rares dans notre paysage.
Le fauchage n’a lieu qu’une fois par an, après le 15 août.
En choisissant de favoriser le fauchage raisonné plutôt que l’entretien intensif sur la place du Périgord, la route des Courroies, au Petit-Pré ou dans le lotissement Beaulieu, la ville de Saint-Astier respecte les cycles naturels biologiques et s’engage dans une gestion durable des espaces verts et l’application de l’Agenda-21.
Les espaces verts et les bords de routes constituent des “prairies naturelles” dont la richesse ne demande qu’à s’exprimer. Les plantes sauvages y ont la possibilité de grainer et de se reproduire, grâce à une pollinisation par les insectes. De nombreux animaux y trouvent nourriture, gîte et abri. Véritables “corridors écologiques”, on y trouve, par exemple, des espèces de plantes et d’insectes remarquables, devenus rares dans notre paysage.
En appliquant le fauchage tardif sur notre commune, c’est non seulement le respect de l’environnement qui est en jeu, mais ce sont également des économies réalisées : un fauchage moins fréquent, c’est plus de confort pour les services techniques, donc du temps de travail réaffecté à d’autres travaux ; moins d’usure de matériel, c’est moins de coût de maintenance et de réparations, moins d’achat de pièces détachées... Le fauchage tardif, c’est aussi des économies de carburant et moins de rejets de CO2 et de pollution.
L’entretien raisonné des bords de routes
La préservation et la mise en valeur de la biodiversité passe également par une gestion raisonnée de l’entretien des bords de routes. Le fauchage raisonné, c’est “faucher autant que nécessaire, mais aussi peu que possible”.
Cette approche s’oppose aux principes du fauchage intensif. Il s’agit de “faucher utile”, en tenant compte des impératifs de sécurité et de la croissance de la plante.
Deux orientations majeures guident cette action :
Cette approche s’oppose aux principes du fauchage intensif. Il s’agit de “faucher utile”, en tenant compte des impératifs de sécurité et de la croissance de la plante.
Deux orientations majeures guident cette action :
- retarder au maximum la première intervention (l’herbe repousse moins vite si l’on coupe au stade épiaison),
- augmenter progressivement la hauteur de coupe à 15 cm (actuellement entre 8 et 10 cm).


